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dans les recoins sombres du cabinet de curiosité, nous trouvont un objet bien troublant et desuet, le masque de la honte. Ces
étranges objets, à la fois sinistres et symboliques, étaient utilisés pour marquer publiquement ceux qui avaient transgressé
les normes sociales, mais dont les fautes n’étaient pas considérées comme dignes de châtiments plus sévères.
Les masques de la honte prenaient diverses formes qui changeait en fonction du vis commit, mais tous partageaient la même
finalité : exposer au jour la honte que la malheureuse victime aurait voulu garder cacher. Les coupables étaient contraints
de porter ces masques grotesques, souvent dans des matériaux lourds et inconfortables, avec des attributs déformants. La
personne ainsi masquée était alors exposée au regard de la communauté, où le masque devenait un fardeau visible de sa
faute. Une fois la punition terminer, les comerage continurait de punire le condamner pendent encore un long moment, et
tous serait de quel parti de sa personnalité se mefier
Ces masques servaient à rappeler au porteur et à la société sa transgression. Ils étaient souvent conçus de manière à susciter
le mépris ou la dérision, transformant ainsi la honte en une punition publique.
Au premier regard, il semble être une simple roue de verre constélé de point bleu et vert . Pourtant, cette roue si on s’y
attarde contien l’écoulement infini du temps.
À l’intérieur de ces deux plaque de verre, une myriade de scarabées ranger en cercle repose dans un éternel équilibre. un
scarabée, un pour chaque jour de l’année, soigneusement empaillés et positionnés avec précision. Chaque petit coléoptère,
bien que de la même espèce, porte une couleur unique et distinctive, allant du doré chatoyant au vert profond, en passant par
le bleu royal et ces couleur varie encore selon l’iridessance que le jour fait maitre sur leurs dos. Chacun d’entre eux est figé
dans un instant de vie, les pattes posées comme s’ils marchaient vers le lendemain.
La pierre de jaspe, une roche mystérieuse aux propriétés apaisantes, a joué un rôle fascinant à l’époque de la Renaissance. Faisant partie de la grande famille des quartz, cette pierre se distingue par sa teinte profonde, zébrée ou mouchetée, et elle se décline en différentes couleurs. Cependant, c’est la variété rouge qui est la plus célèbre et la plus prisée, évoquant le sang et conférant à cette pierre une aura mystique. En raison de sa teinte, les chrétiens la surnommèrent la « pierre des martyrs », ce qui lui valut d’être associée à de nombreuses légendes et croyances, ainsi que d’être utilisée comme ornement dans de nombreux édifices chrétiens, évoquant le sang du Christ.
Au cœur de l’Italie de la Renaissance, la famille Médicis, dont les liens ambigus avec la religion et la politique ont alimenté de nombreuses histoires, utilisait le jaspe pour sculpter des crucifix. Ces « croix de sang » étaient censées protéger contre les forces obscures, notamment le diable. Les femmes portaient ces artefacts en bijoux pour bénéficier de leur protection.
Le jaspe, en raison de sa couleur vermillon, pouvait susciter la crainte, mais il était plus largement considéré comme bénéfique, en particulier pour les « infections féminines ». Ses vertus apaisantes étaient souvent exploitées pour traiter divers maux, notamment pendant la grossesse, perpétuant ainsi un héritage de croyances anciennes remontant à l’Antiquité. Même de nos jours, en lithothérapie, le jaspe est associé à la sexualité féminine.
La pierre de jaspe que vous pouvez admirer dans notre cabinet de curiosités est un spécimen remarquable, pesant pas moins de 16 kg. Elle incarne la richesse de l’histoire et des croyances qui ont entouré cette pierre extraordinaire à travers les siècles. Son héritage s’inscrit dans le contexte de la Renaissance, une époque marquée par des découvertes, une vague de renouveau à travers toute l’Europe, des mystères et des croyances, où le jaspe était à la fois une source de fascination et de réconfort au seuil d’une ère de changements perpétuels.
Qui a dit que les veilleuses étaient réservées aux enfants ? Elles étaient également destinées aux rois. Louis XII en possédait d’ailleurs une lors de son mariage avec Anne de Bretagne. Cette lampe exceptionnelle se trouve aujourd’hui à Château Gaillard. Fabriquée à partir d’une pâte de verre polychrome, cette pièce d’orfèvrerie était autrefois une parure de choix pour la chambre nuptiale d’un roi de France.
L’histoire de cette veilleuse est fascinante. Elle témoigne du raffinement et de l’art verrier de l’époque, mais aussi de la symbolique attachée à cet objet. A une époque ou le sommeil est encore associer a la mort, ainsi la veilleuse chassait les ombre aussi bien réellement que symboliquement, eloignant les mauvais presage du mariage royal