Vous vous trouvez dans le cabinet des curiosités!

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dans les recoins sombres du cabinet de curiosité, nous trouvont un objet bien troublant et desuet, le masque de la honte. Ces
étranges objets, à la fois sinistres et symboliques, étaient utilisés pour marquer publiquement ceux qui avaient transgressé
les normes sociales, mais dont les fautes n’étaient pas considérées comme dignes de châtiments plus sévères.
Les masques de la honte prenaient diverses formes qui changeait en fonction du vis commit, mais tous partageaient la même
finalité : exposer au jour la honte que la malheureuse victime aurait voulu garder cacher. Les coupables étaient contraints
de porter ces masques grotesques, souvent dans des matériaux lourds et inconfortables, avec des attributs déformants. La
personne ainsi masquée était alors exposée au regard de la communauté, où le masque devenait un fardeau visible de sa
faute. Une fois la punition terminer, les comerage continurait de punire le condamner pendent encore un long moment, et
tous serait de quel parti de sa personnalité se mefier
Ces masques servaient à rappeler au porteur et à la société sa transgression. Ils étaient souvent conçus de manière à susciter
le mépris ou la dérision, transformant ainsi la honte en une punition publique.

Au premier regard, il semble être une simple roue de verre constélé de point bleu et vert . Pourtant, cette roue si on s’y
attarde contien l’écoulement infini du temps.
À l’intérieur de ces deux plaque de verre, une myriade de scarabées ranger en cercle repose dans un éternel équilibre. un
scarabée, un pour chaque jour de l’année, soigneusement empaillés et positionnés avec précision. Chaque petit coléoptère,
bien que de la même espèce, porte une couleur unique et distinctive, allant du doré chatoyant au vert profond, en passant par
le bleu royal et ces couleur varie encore selon l’iridessance que le jour fait maitre sur leurs dos. Chacun d’entre eux est figé
dans un instant de vie, les pattes posées comme s’ils marchaient vers le lendemain.